En 1963, au lendemain de l'indépendance de leur pays, des militants algériens ont souhaité contribuer à la formation de leurs compatriotes émigrés en France en s'attaquant au problème de base : l'analphabétisme.
Avec des amis français, ils ont créé pour cela le GERMAE et mis en place des cours du soir animés par des formateurs bénévoles.
Par la suite, en tenant compte de l'évolution de l'immigration et des besoins, ces actions se sont diversifiées : elles accueillent aujourd'hui des hommes et des femmes de différents pays, peu ou pas scolarisés dans leur enfance, ou encore ayant un passé scolaire, mais non francophones.
Aujourd'hui le GERMAE mène des actions dans six lieux en Ile-de-France.